Le maître, Théodore Géricault, qui avait plein de talent, a peint ce chef-d’oeuvre en 1819. Ce tableau est un peinture à l’huile sur toile qui remonte au Romanticisme et qu’on peut trouver dans le Musée du Louvre à Paris.
À propos de sa technique, il faut remarquer que cette oeuvre est figurative mais, en même temps elle est également réaliste. En plus, une connaissance anatomique est montrée, ce qui nous révèle l’auteur avait sans aucun doute, un excellent coup de crayon pour dessiner le corps.
Quant à la couleur, le peintre aimait utiliser le noir et l’ocre. Cependant, malgré ces tonalités sombres, il a joué avec la lumière dans cette toile, en dessinant une ligne diagonale dans le but de montrer les espoirs, représentés par la lumière d’un bateau dans un extrême et les cadavres, qui symbolisent la mort, dans l’outre.

Le sujet de la peintre est contemporain à la vie de l’auteur. Il s’agit d’un bateau dont la destination était le Sénégal mais, malheureusement, il est écrasé. Par conséquent, 150 personnes sont montées sur le radeau afin d’échapper au naufrage. Après avoir lutté pendant 13 jours à la mer, seulement 15 d’entre eux ont survécu.
Suite à cette catastrophe, Géricault a décidé de faire une critique sociale puisque dans le Romanticisme la figure d’un mécène n’était pas typique et le peintre avait de la liberté. En outre, entre les caractéristiques les plus connues de cette période, on a le rejet à l’illustration et la faiblesse de l’homme devant la nature. Bref, ce tableau est clé dans le mouvement romantique français et même il n’a pas plu au public, au fil du temps cette oeuvre est sortie de l’ordinaire.
Carmen Hidalgo (Departamento de Inglés)
